Le ai16zeliza token (communément appelé "eliza") a débuté en tant que projet expérimental dans le cadre du fonds de trading décentralisé ai16z sur Solana. Conçu pour démontrer le potentiel des agents autonomes d'IA, eliza a été créé et distribué au portefeuille de la Fondation ai16z. Il a rapidement gagné en popularité, devenant l'un des plus grands avoirs du fonds. Avec un intérêt croissant de la communauté et un engouement spéculatif, la capitalisation boursière d'eliza a grimpé à un impressionnant 50 millions de dollars, soutenue par son association avec ai16z et ses mécanismes de trading innovants pilotés par l'IA.
Cependant, la controverse a éclaté lorsque Shaw, un partenaire d'ai16z, a annoncé publiquement qu'eliza n'était pas officiellement affilié à ai16z. En présentant la décision comme un moyen d'accorder la "liberté" au token, Shaw a déclaré qu'ai16z ne le soutiendrait plus et a plutôt lancé un nouveau token en lettres majuscules, ELIZA, affirmant qu'il s'agissait du "vrai" projet. Cette annonce a entraîné une vente massive de l'original eliza, dont la capitalisation boursière a chuté de plus de 87 % en quelques minutes, tandis que le nouveau token ELIZA a rapidement gagné en popularité, soutenu par le soutien d'ai16z.
Cette scission a mis en évidence la tension entre l'innovation portée par la communauté et le contrôle centralisé. Alors que la communauté eliza s'est mobilisée pour affirmer son indépendance, des critiques ont accusé ai16z d'abandonner les efforts de base au profit d'une alternative plus contrôlée. Malgré son parcours tumultueux, eliza demeure un symbole de résilience décentralisée, avec son avenir désormais fermement entre les mains de sa communauté.
Le ai16zeliza token (communément appelé "eliza") a débuté en tant que projet expérimental dans le cadre du fonds de trading décentralisé ai16z sur Solana. Conçu pour démontrer le potentiel des agents autonomes d'IA, eliza a été créé et distribué au portefeuille de la Fondation ai16z. Il a rapidement gagné en popularité, devenant l'un des plus grands avoirs du fonds. Avec un intérêt croissant de la communauté et un engouement spéculatif, la capitalisation boursière d'eliza a grimpé à un impressionnant 50 millions de dollars, soutenue par son association avec ai16z et ses mécanismes de trading innovants pilotés par l'IA.
Cependant, la controverse a éclaté lorsque Shaw, un partenaire d'ai16z, a annoncé publiquement qu'eliza n'était pas officiellement affilié à ai16z. En présentant la décision comme un moyen d'accorder la "liberté" au token, Shaw a déclaré qu'ai16z ne le soutiendrait plus et a plutôt lancé un nouveau token en lettres majuscules, ELIZA, affirmant qu'il s'agissait du "vrai" projet. Cette annonce a entraîné une vente massive de l'original eliza, dont la capitalisation boursière a chuté de plus de 87 % en quelques minutes, tandis que le nouveau token ELIZA a rapidement gagné en popularité, soutenu par le soutien d'ai16z.
Cette scission a mis en évidence la tension entre l'innovation portée par la communauté et le contrôle centralisé. Alors que la communauté eliza s'est mobilisée pour affirmer son indépendance, des critiques ont accusé ai16z d'abandonner les efforts de base au profit d'une alternative plus contrôlée. Malgré son parcours tumultueux, eliza demeure un symbole de résilience décentralisée, avec son avenir désormais fermement entre les mains de sa communauté.